Sujet du jour : Essai du convertisseur audio numérique Jundac Two,
Manufacture : Junilab (made in / fait en France),
Manager : Eric Juaneda,
Source : The Vintage Modern Corner,
Auteur : Renaud Coustellier.
Introduction
Inutile de le taire, assister à la gestation d’un produit audio est toujours une expérience agréable.
D’autre part, je n’ai jamais caché un vif intérêt en matière d’audio-numérique.
Alors quand Eric Juaneda m’a proposé l’évaluation de sa dernière création durant une semaine, j’ai immédiatement négocié afin de pouvoir en profiter davantage.
M. Juaneda réalise depuis plusieurs années des électroniques assez inhabituelles en terme de performances pures.
C’est un électronicien expérimenté mais aussi un mélomane-audiophile passionné qui effectue une sorte de “travail de fourmi” : il ne s’agit pas d’avoir de nombreuses électroniques au sein du catalogue, mais au contraire le faible nombre de références témoigne en quelque sorte d’un véritable acharnement, un acharnement permettant d’obtenir le maximum du schéma, des composants, de la mise en oeuvre.
Au fil du temps, j’ai eu le plaisir de disposer de plusieurs composants audio en provenance de JuniLab, parfois des prototypes et d’autres fois des versions plus finalisées.
J’ai le souvenir de plusieurs modèles de pré-amplificateurs, surtout le “Modèle 4” extraordinaire de transparence.
Au cours de notre relation avec Junilab, j’aurais aussi connu le privilège d’assister à des séances de comparaison de composants en fonction de leur signature sonore respectives.
Expérience enrichissante de constater l’aisance avec laquelle on peut discerner comment tel ou tel composant dans le schéma d’un appareil a d’impact sur le rendu sonore.
Cette “prouesse” lue ici et là et dont on peut douter à priori est en pratique assez banale : lorsque tout s’y prête, c’est une affaire aisée.
La dernière écoute chez M. Juaneda remonte à quelques mois, lors d’une visite informelle.
Le concepteur avait détaillé son convertisseur sur le banc de montage et j’avais pu constater la qualité extravagante de la mise en oeuvre et du soin incroyable consacré à chaque infime détail.
Par exemple chaque entrée disposait d’un câble différent permettant à l’utilisateur de “choisir” son entrée préférée.
Après la présentation technique, j’avais eu la chance de pouvoir écouter un exemplaire du convertisseur sur quelques extraits musicaux et j’ai le très bon souvenir de ce que j’en avais principalement ressenti : une proposition sonore présentant une nombre impressionnant de micro informations telles que bruits de salle, musiciens se déplaçant, doigts glissant sur les cordes.
Et encore, il ne s’agissait pas d’une session d’écoute pure et dure mais plutôt d’une discussion avec de la musique en fond sonore.
Présentation
L’objet de ce compte-rendu est le JunDac Two.
Vous conviendrez que le nom ne parle pas de la technique intrinsèque, mais le “two” indique qu’il s’agit du second modèle de convertisseur de la gamme Junilab, qui vient se positionner au dessus de son petit frère.
Pour ce nouveau modèle, M. Juaneda pousse encore plus loin les idées de la première version du convertisseur.
Le modèle est proposé soit en kit, soit en boîtier “tout monté”.
Honnêtement, je pense que le kit est à réserver aux “as du fer à souder”, aux personnes expérimentées et bien outillées pour réaliser le travail.
En ce qui nous concerne, nous allons nous attacher au produit monté dans sont boîtier.
Alors, que trouve t-on dans la boite?
Le premier élément dont je souhaite parler est le circuit de conversion, le DAC, en l’occurrence le fameux PCM 1704.
Au moment de sa sortie par BURR BROWN à la toute fin des années 90, ce DAC a produit l’effet d’une bombe dans le monde de l’audio.
Pensez donc, une résolution de 24 bits avec un rapport signal de 120db : le responsable de Theta Digital annonçait “Absolument et sans conteste, le meilleur !”.
De son côté, le responsable de la conception des produits Wadia, dont on peut supposer le savoir-faire, annonçait : “une plus grande résolution, une plus grande dynamique et une meilleure réponse dans le grave que tous les autres produits” !
La version du PCM1704 utilisée dans le JunLab Two est celle en “K grade”, c’est à dire une version triée plus performante (rapport S/B et THD) que la version standard.
D’ailleurs, un petit “K” sérigraphié sur le circuit est visible lorsque l’on ouvre la boite.
À noter et si j’ose dire “conformément à la mode actuelle” l’implémentation du PCM 1704 en mode NOS, c’est à dire Non Over Sampling, dont vous pourrez trouver une traduction de l’article fondateur à cette adresse NOS Kusunoki.
L’objectif du NOS est de se dispenser du filtre digital afin de produire un son plus analogique et plus naturel.
A quoi bon un PCM1704 avec un 120dB de rapport signal bruit si l’alimentation est bruyante ?
C’est loin d’être le cas dans le JunDac Two dont les différents étages d’alimentation représentant environ quatre vingt pour cent de l’électronique.
Le choix des condensateurs ravira les électroniciens mais un peu moins les audiophiles.
Conformément à ce qui est déjà exposé par ailleurs sur TVC au sujet de la qualité des condensateurs, il suffit de choisir le bon modèle en fonction des spécifications techniques et d’éviter le modèle “audiophile” certainement plus onéreux (pour cause de fluide magique inside) et dont les spécifications ne sont pas forcément très claires.
Techniquement, il reste encore au moins une dizaine de points spécifiques au convertisseur qui mériteraient explications ou commentaires, au risque d’ennuyer le lecteur. Comme indiqué ci-dessus, le convertisseur existe dans une version en kit, mais la mise en boite du kit par M. Juanéda permet d’en tirer la quintessence : du point de vue du concepteur, le résultat sonore obtenu est “pour 50% électronique et le reste, c’est de la mise en oeuvre”. Dans la catégorie des détails, on constate par exemple les gros condensateurs amortis mécaniquement par du matériau absorbant. Pour être bref, on pourra citer le soin apporté aux alimentations, à l’étage de sortie et même à la chasse aux vibrations mécaniques : le convertisseur peut être livré avec une plaque de granit optionnelle.
Pour conclure trop hâtivement le chapitre de la technique, indiquons que l’intérieur de la machine “il y a de la came” : on reste impressionné par la qualité des composants et leur nombre, ainsi que par le soin méticuleux et l’attention aux infimes détails de mise en oeuvre !
Évolutions possibles
Le convertisseur propose deux évolutions à considérer avec intérêt.
D’une part le JunDac propose une entrée Green Earth dont voici la documentation (pdf 350ko) et qui a pour but d’améliorer le rapport signal / bruit : cet accessoire modifie la présentation sonore assez notablement, nous y reviendrons dans la partie écoutes de ce compte rendu.
D’autre part le JunDac accepte une entrée horloge.
Pour information le circuit de réception du signal (DIR) est le Cirrus CS8416 utilisé dans de nombreux appareils.
Bien que ce circuit dispose d’un mécanisme permettant de lutter contre le jitter, tout le monde sait que la question de l’horloge est cruciale : une meilleure précision de cet élément impacte mécaniquement le résultat sonore.
Au contraire d’un gadget inutile, l’entrée Master Clock est donc une fonction du convertisseur qui en multiplie son potentiel et je suis certain que le JunDac gagnera encore en terme de prestation sonore dès que le boîtier optionnel (encore en développement) sera ajouté.
Un petit mot pour indiquer à nos lecteurs, par un doux euphémisme, que les horloges chinoises disponibles sur internet sont une pure perte de temps.
Mise en oeuvre
Le JunDac Two semble ne pas échapper à la fameuse “période de chauffe” avant de donner le meilleur de lui même.
L’appareil dispose d’un interrupteur général au dos du boîtier, alors que l’interrupteur en face avant marqué “On” est utilisé pour passer (ou non) en mode veille : durant les écoutes le DAC est resté sous tension tout le temps, sans même utiliser cet interrupteur.
On pourra amèrement le regretter, mais il faut se rendre à l’évidence : en matière de Hifi se trouve pléthore de spécialistes aux « philtres » miraculeux, aux poudres de perlimpinpin, aux recettes magiques dont les secrets sont jalousement préservés de la curiosité des mécréants.
Voila les nouveaux alchimistes : leurs discours échappant à la matière scientifique, ils invoquent “la magie” comme fondement de leurs démonstrations.
A défaut de transformer le plomb en or ceux-là vont tenter de vous vendre le cuivre de leurs câbles au prix du platine : spécialistes de l’optimisation (de leur porte monnaie) ils transforment la merde en or – d’où la locution “les nouveaux alchimistes” – et rendent illisibles le travail des vrais spécialistes tels que M. Juaneda.
Loin de théories fumeuses émises par des fumistes détestables qui polluent le paysage des passionnés sincères, M. Juaneda a tenu à compléter l’installation de son appareil en mettant en oeuvre de petites astuces en matière mécanique et vibratoire.
C’est pour cela que le convertisseur, d’abord posé sur un meuble spécifique, a ensuite été installé sur trois couches de matériaux aux propriétés mécaniques différentes : du liège, du granit et une plaque de chêne.
Il ne s’agit pas de supports onéreux, au contraire tout cet attirail se trouve dans les magasins de bricolage.
Force est de constater que ces petites astuces apportent un gain à l’écoute, dans le même esprit qu’un vulgaire tapis bien disposé par exemple.
Contrairement aux « vilains » Wadia qui rayonnent énormément et qui peuvent nuire à la réception avec un tuner, le JunDac ne rayonne pas (du moins dans mon usage) et peux donc être agréablement utilisé avec le Mircomega Tuner (celui disposant d’une sortie numérique) : sans quartz à l’intérieur, le convertisseur se verrouille sur le signal reçu.
L’inconvénient mineur est qu’il est nécessaire de disposer d’un lecteur CD avec une horloge de grande précision pour en tirer le meilleur parti.
Notre lecteur Marantz CD94 modifié est le candidat idéal pour une belle association : son horloge mesurée à 200 fs est bien loin devant toutes les réalisations du marché (les lecteurs du marché utilisent la pico-seconde plutôt que la femto-seconde pour indiquer la gigue – Jitter – de leur horloge).
Une diode rouge en façade du convertisseur indique une erreur (perte d’au moins un échantillon) et reste allumée durant une seconde (que ce soit donc pour un seul ou quarante quatre milles échantillons).
Il est bien curieux de voir cette diode monter lorsque l’on allume ou éteint la lumière dans une pièce voisine, mais au delà de la curiosité cette fonction permet de savoir si le convertisseur verrouille bien le signal d’entrée.
Dans le cas d’une installation un peu complexe, par exemple avec un signal provenant d’un PC, d’une boite internet etc… elle est bien pratique.
Les écoutes
Après avoir laissé quelques jours sous tension le JunDac 2, les écoutes analytiques ont permis de cerner la personnalité particulière de ce convertisseur.
Les premières écoutes ont été assez déroutantes, mais en laissant les habitudes s’éloigner, le plaisir d’écoute a été de plus en plus grand.
Habituellement, je détermine le point fort d’un appareil, mais en ce qui concerne le JunDac Two, j’ai été incapable de choisir entre deux points vraiment marquant.
Commençons donc par le premier qui vient à l’esprit : un registre grave absolument phé-no-mé-nal !
En fait, cela s’étend de l’extrême grave jusqu’au bas médium.
Le grave est très tendu, sans traînage, ferme, avec une autorité certaine.
Les différents instruments, tels que la contrebasse, ont une texture harmonique saisissante, une vraie présence.
Les percussions disposent d’une rare ampleur, et tout ce qui se trouve dans le registre grave-bas médium est positionné en trois dimensions avec grande précision : cela est particulièrement vrai sur certains enregistrements de Jan Garbarek produits par ECM (I took up the runes etc…).
Cette assise dans le grave se retrouve aussi dans la présentation de la salle et contribue à l’illusion d’être présent. Avec le système d’écoute précédent, je restais un peu sur ma faim avec l’album « Companion » de Patricia Barber.
Avec le JunDac Two le registre grave est réussi et les informations sonores permettent de percevoir les dimensions de la salle, on a même l’impression lors des applaudissements de pouvoir dénombrer les spectateurs.
Autre point positif du registre grave : la dynamique !
Elle est d’autant plus impressionnante que contrairement à ce que l’on peut constater sur une majorité d’autres appareils, cette dynamique n’impacte en rien les autres registres et surtout permet de continuer à entendre les micro détails.
Voila donc une frappe chirurgicale du grave sans dommage collatéral en quelque sorte.
Quoique à bien y réfléchir, les dommages collatéraux puissent se situer dans le domaine du voisinage, puisque l’addiction à cet effet de “ooomphh” se développe au fil des disques écoutés !
Vous l’aurez compris, le registre grave se présente comme la solide (et réjouissante) fondation sur laquelle il reste à poser les autres registres sonores.
Après cet enthousiasmant et premier point fort, passons à l’autre force déterminante du convertisseur : le niveau de détails.
Comme indiqué plus haut, les écoutes se sont déroulées avec une Marantz CD94 modifié selon la recette TVC (après avoir démarré avec un Kenwood 990SG ayant subit la même évolution).
Pour rappel, le niveau de détail des platines modifiées est dans le domaine de l’excellence, sous réserve de disposer d’un convertisseur capable de transcrire les informations numériques en signal analogique !
Le JuanDac présente sur ce point un comportement qui sort de l’ordinaire : sur l’album « Companion », déjà évoqué ci-dessus, le disque se retrouve comme éclairé du foisonnement de micro informations.
C’est ici que s’ouvre une bonne grosse parenthèse. Le convertisseur peut évoluer en ajoutant le module Gren Earth. Ecouté deux semaines sans le module, les écoutes des deux semaines suivantes ont été effectuées avec.
Ce module modifie notablement la balance sonore et donne une restitution plus “classique” du message sonore, restitution avec laquelle je suis plus “en phase”. Il faut avouer que le NOS est une écoute différente. La norme en terme de qualité a été définie par la médiocrité durant des années et des années, et Wadia s’écartait largement de cette médiocrité en utilisant un faible filtrage numérique intrinsèquement lié à un novateur sur-échantillonnage logiciel spécifique : le résultat avait aussi de quoi surprendre.
En effet, lorsque la standardisation de la médiocrité est devenue la norme, ce peut être un effort d’écouter quelque chose de différent. Une récente étude indiquait que tel panel de personnes préférait pour le même morceau le son encodé en MP3 que celui du CD audio : chacun pourra en tirer ses propres conclusions, pour ma part je considère cela comme édifiant.
Le système NOS s’appuie, un peu comme Wadia en son temps, sur l’absence de filtrage numérique.
Alors c’est vrai que d’un côté “on récupère” un nombre impressionnant de détails rabotés par le filtrage numérique classique, d’un autre côté on se retrouve à la merci d’un certain nombres d’artefact numériques. En matière de vidéo les artefacts sont clairement identifiables.
En effet, on peut facilement voir qu’une hélice d’avion se courbe peu à peu en fonction de sa vitesse et du nombre d’images par seconde.
Par contre en matière d’audio, la démarche d’identification de l’artefact est plus difficile.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que dans le cas du JunDac two le gain est mille fois supérieur – en détails foisonnants inaudibles jusqu’alors – à la contrepartie négative : le côté éventuellement un peu râpeux du médium-aigu est totalement estompé par l’ajout du module Green Earth…
Pour éventuellement s’en dispenser à terme.
Donc, vous l’aurez compris, le niveau de détail est fulgurant, merci l’absence de filtrage numérique, merci le PCM1704, merci aux alimentations et à tout ce qui est mis en oeuvre pour l’obtenir.
Voila, vous êtes prévenu : écoutez Mythologie de Patricia Barber et vous allez découvrir derrière la voix de la chanteuse quelques notes de saxophone auparavant inouïes : la première fois c’est le doute. S’agit-il d’un artefact, d’un écho ajouté par le convertisseur.
La télécommande permet un retour en arrière de quelques secondes. Non-non, ce sont bien quelques notes de saxophone derrière la voix de Patricia Barber.
Alors les plus « idiophiles » d’entre nous se délecterons des grincements du tabouret sur le Live A FIP du fameux Hadouk Trio, de l’ouverture de la porte du studio pour entendre la circulation de la rue sur l’album Lilly Was here de Dave Stwart.
Plus ou moins indiqué dans les paragraphes précédents, la dynamique globale est vraiment réussie : il faut dire que la nervosité du registre grave y participe généreusement.
D’autre part la résolution, cette capacité à suivre les instruments situés dans les arrières-plans, est excellente.
Conjointement au foisonnement des détails, l’auditeur ressent la musique de manière naturelle : il ne s’agit pas d’un effort d’intellectualisation pour comprendre ou suivre tel ou tel instrument, au contraire tout coule de source.
Difficile de parler de la proposition sonore en trois dimensions de manière indépendante, ce point aussi est plus ou moins frontalement traité dans les paragraphes ci-dessus.
J’indiquerai juste que l’image s’est stabilisée après 48heures de chauffe.
Elle s’étend correctement de part et d’autre des enceintes et aussi en profondeur derrière les Wilson Audio, ce qui correspond à ce que j’en attends.
Sur ce dernier point, je suis persuadé que les résultats (déjà très bons) peuvent être encore tirés vers le haut lorsque l’option d’horloge sera disponible.
S’il vous plaît, Monsieur Juaneda, ne tardez pas trop à le commercialiser !
Pour finir ce chapitre je ne résiste pas à l’envie de vous faire part de quelques remarques de personnes ayant profité du canapé :
“Le niveau de qualité était assez remarquable. Je suis très étonné que sans élément acoustique ajouté nous ayons obtenu un tel niveau et une telle lisibilité dans extrême grave. La pièce semble vraiment bien équilibrée. Tous les équipements audio y sont aussi pour beaucoup “
“J’ai écouté quelques chaînes audiophiles chez des clients. Ils sont loin d’obtenir le résultats que tu obtiens même si les moyens sont quelque fois bien plus importants.
Conclusion
D’un point de vue sonore le JunDac two est une réussite probante se situant dans le haut du panier des convertisseurs haut de gamme.
Hélas, cet appareil arrive sur un marché déjà encombré et surtout bien occupé par des références mondialement connues.
Un audiophile “chevronné” et qui aime souvent changer son matériel pourrait pencher vers un appareil de même coût, peut être moins bon d’un point de vue sonore, mais avec la certitude d’une facilité de revente.
Un autre, éventuellement sourd, s’attachera davantage à la représentation sociale : il faut que ce soit cher et que cela se voit.
Du coup le JunDac Two, sans chrome rutilant ou tube mis en évidence, intégré dans un boîtier destiné à la reproduction audio davantage qu’au paraître, se trouvera handicapé par ses qualités mêmes.
Les deux types de commercialisation (kit ou monté) participeront sans doute au nombre d’exemplaires en circulation et gageons que le bouche à oreille assurera un beau succès à ce convertisseur qui mérite la considération du véritable mélomane-audiophile.
Information rédactionnelle et contact manufacturier
TVC
Renaud Coustellier : www.tvcaudio.com
Junilabs
Manager : Eric Juaneda
Site web perso : http://tech.juaneda.com
Page web professionnelle : http://www.junilabs.com
DAC Jundac Two : http://www.junilabs.com/fr/products/jundactwo.html
Cet article a été rédigé par Renaud Coustellier, rédacteur indépendant, tous droits réservés, copyright 2010, les textes et photos sont la propriété de l’auteur et du magazine.
Bonne journée et bonnes écoutes.
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